Ce poème Tang de Chang Jian (8ème siècle) est l'objet des mes derniers apprentissages....... ne vous attendez donc pas à des miracles, mais j'y ai mis toute mon énergie.......
Les feuilles s'empilent jour après jour, et j'en jette aussi. Ce qui m'est le plus difficile, c'est , tout en visant à respecter au mieux les caractères du Maitre, de conserver une bonne verticalité ........
Les feuilles s'empilent jour après jour, et j'en jette aussi. Ce qui m'est le plus difficile, c'est , tout en visant à respecter au mieux les caractères du Maitre, de conserver une bonne verticalité ........
calli de Ma di na. 100cm x 30 cm |
En attendant, le voici en français :
Titre : Cellule de contemplation bouddhiste derrière le temple de Poshan.
Je pénètre dans l'ancien temple au lever du jour
Le soleil levant répand sa première lueur sur les grands arbres
Un sentier à travers les bambous me conduit à ce coin retiré
La cellule de contemplation s'abrite derrière arbres et fleurs
Les couleurs de la montagne égaient les oiseaux
Les ombres qui se jouent sur l'étang purifient le coeur
aucun bruit de l'extérieur ne perturbe le silence de ce lieu
On n'entend que le tintement de la cloche du temple.
Traduction de Shi Bo.
Quelques uns de mes travaux....... |
En fait, ce poème est serein et il correspond bien à l'ambiance qui règne dans mon ermitage !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire